COMME LE LAIT SUR LE FEU...

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Suspendue jusqu'au 5 octobre, la grève du lait a diversement touché les transporteurs spécialisés, épargnant le plus souvent les activités liées à la collecte. Reste que les entreprises ont souffert. En silence.

Après deux semaines ponctuées d'actions d'épandage et de blocages des accès aux laiteries, « l'or blanc » a repris le chemin des cuves. Dans l'attente d'une réunion des ministres européens de l'Agriculture, le 5 octobre, l'EMB (fédération européenne des producteurs laitiers) a appelé, le 24 septembre, à la suspension du mouvement. Mettant ainsi un terme provisoire à une grève des livraisons menée sur le territoire français par plusieurs syndicats de producteurs. Reprendra ? Reprendra pas ? Les transporteurs spécialisés demeurent dans l'expectative. Et se montrent des plus réticents à évoquer cette nouvelle crise du lait et ses répercussions sur leur propre activité. « Nous sommes pris entre le marteau et l'enclume. Je ne veux me mettre à dos ni les paysans, ni mes clients laitiers alors que 98 % de mon chiffre d'affaires dépend du lait et de ses dérivés », se défend un transporteur qui exige l'anonymat.

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