Additionnés, ces plans en faveur du fret ferroviaire représentent un investissement de 8 Md€, 7 pour l'État et 1 pour SNCF, qui doit permettre à ce mode, dans toutes ses composantes, d'atteindre les objectifs que le Grenelle de l'environnement lui a fixés à l'horizon 2025 : capter 25 % des trafics de transport terrestre. Le chiffrage de ce plan fret est la seule annonce de Guillaume Pépy, tant le contenu avait été largement éventé depuis l'audit en juin. Avec cette enveloppe, la SNCF dit vouloir, notamment, (re) prendre la main -quid des procédures d'appel d'offres dans certains cas ?- sur les autoroutes ferroviaires réelles et virtuelles (Perpignan-Bettembourg, AFA, Atlantique Eco-Fret, Londres-Turin...) et le transport combiné. Deux orientations inclues dans les neuf projets industriels sur 2010-2015. L'activité « wagon isolé » subit l'élagage prév
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