Lors d'une réunion avec le préfet, le 2 octobre, il a été demandé au collectif régional opposé à l'écotaxe de remonter une étude d'impact chiffrée, avec exemples à l'appui par secteur d'activité (métallurgie, automobile, agroalimentaire, agricole...). Des résultats que le collectif entend remettre rapidement en préfecture. D'autant que les chefs d'entreprise n'ont pas attendu cette requête pour évaluer le préjudice. Il est « loin des 1 250 euros par an et par véhicule comme avancé par le ministère des Transports », tonne Bertrand Declomesnil, P-dg d'un atelier de découpe de porcs. Également président de l'Anea (Association normande des entreprises alimentaires) et porte-parole du collectif, Bertrand Declomesnil a chiffré l'impact financier pour sa société qui compte dix porteurs de 19 t et 26 t. Selon la configuration du réseau taxé (certain e
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