Depuis quelques jours, entre Paris et Chambéry, une semi-remorque Lamberet est testée au format multitempérature, après une première période d'essai entreprise en 2008 en monotempérature. Dans ce cas de figure, l'azote liquide, stocké dans une cuve sous le plancher, est injecté directement dans la caisse. Une solution efficace en termes de rendement mais qui pose « un problème de sécurité », précise Philippe Baranger, directeur technique véhicules. Sur le porteur (18 palettes), l'azote est injecté par le biais d'un échangeur qui, à l'inverse de la première solution, limite les risques physiques mais ne garantit pas une efficacité maximale. « Nous multiplions les mesures de consommation et d'émission », dit-on chez STEF-TFE qui compte certaines stations équipées de réservoirs d'azote liquide. Le dispositif est jugé prometteur, aux plans du bruit et du bilan carbone. « Mais nous ne sommes pas arrivés à notre conclusion finale », admet Philippe Baranger. En 2003, S
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