. Seront particulièrement visés, en ces périodes de fêtes, les sites logistiques et les entreprises dirigées par les responsables des organisations patronales, indique l'intersyndicale. « Nous sommes sur le principe d'une action dans la durée, qui risque d'être très dure », a prévenu Maxime Dumont (UFR CFDT). Suite à l'échec des négociations salariales, le 26 octobre (L'OT 2523), les syndicats posent quatre revendications : un taux horaire porté à 10 €/h pour le coefficient 150M (+ 9% !) « sans écrasement des grilles » et une hausse de 4 % pour les sédentaires, les agents de maîtrise et les cadres ; une revalorisation de 4 % des frais de déplacement ; une prise en compte identique de l'ancienneté pour tous (soit des majorations comprises entre 3 à 25 %) ainsi que « l'ouverture d'un calendrier social revendicatif qui ne renvoie pas aux calendes grecques ». Lors du congrès de la FNTR, le 29 octobre, le
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