. Par poste, la fédération retient une hausse limitée à 1,9 % pour les coûts salariaux. La prévision tient compte de la baisse de productivité liée à la crise... Sur les frais de déplacement, une inflation modérée et une TVA réduite pour la restauration devraient permettre une stabilité des coûts. Si sortie de crise, le poste « maintenance/réparation/pneus » pourrait progresser modérément. Contrairement aux péages autoroutiers pour lesquels les contrats de concession entre l'État et les sociétés gestionnaires laissent craindre une hausse conséquente. La FNTR table sur 4 %. Attention aux charges de structure, alerte-t-elle : le poids du matériel immobilisé sera à réintégrer et les surfaces utilisées par les entreprises n'ont pas forcément changé. Pour autant, les efforts déjà consentis par les transporteurs et la possibilité d'une reprise, même faible, conduisent à limiter à 2 % l'évolution du poste. Avec le matériel roulant est pointé le passage obligé des véhicules à
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?