Douze mois pour permettre aux acteurs de la filière automobile d'adopter des solutions alternatives au « porte-huit », dont le besoin estimé par an pour traiter 335 000 véhicules sur Paris est d'environ 1 065 unités. Le basculement de la totalité du volume sur des porte-cinq n'est pas envisageable pour la mairie de Paris. Ces solutions, issu du groupe de travail interprofessionnel monté en juin, TLF et FNTR les ont présentées le même jour à la direction Transports de la mairie de Paris. Soit cinq orientations : 1) améliorer l'offre en aires de livraison sur voirie (développer des aires adaptées aux porte-huit autour de gares, professionnaliser les aires...) ; 2) intégrer davantage les livraisons de véhicules au sein des concessions pour éviter le report sur la voirie des opérations de manutention ; 3) aménager la réglementation marchandises parisienne (élever le seuil à 31 m2 en journée, encadrer la circulation des porte-voit
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