« Cette signature formalise le travail commun à mener sur plusieurs années en fixant des objectifs et des dates pour répondre à la dynamique du plan fret, à savoir doubler la part du combiné d'ici 2020 », a rappelé le président du GNTC. Nul engagement financier dans ce partenariat, seulement l'engagement commun d'oeuvrer à l'amélioration de l'offre, de la productivité et de la compétitivité de cette technique. Car comme le souligne le président de RFF : « Le transport combiné rail-route porte le plus grand potentiel de développement du mode ferroviaire ». Et d'ajouter que si la crise l'a fortement pénalisé, elle a aussi permis de « révéler les faiblesses structurelles de ce mode ». Pour le duo de présidents, deux priorités se dessinent : l'accès aux sillons et la modernisation des terminaux. « Nous n'arrivons à monter des trains qu'avec beaucoup de difficultés car il nous manque des sillons, tant en volume qu'en qualité et des délais suffi
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