Les deux parties ont jusqu'à fin mars pour apposer leur signature au bas du document. Le 12 janvier, Ken Allen, le patron de DHL Monde, doit rencontrer les syndicats en France. Lesquels, déçus que leur contre-proposition n'ait pas rencontré d'écho, craignent que l'opération débouche sur la perte de 600 à 700 postes (sur 3 400). Inquiétude identique en Grande Bretagne où DHL a également cédé son activité messagerie à Home Delivery Network, l'un des gros opérateurs domestiques de la messagerie. La transaction englobe 4 700 salariés, cinq hubs et 71 agences. S. B.
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