La grogne des gardiens de fourrière et des dabistes

Article réservé aux abonnés

Une grève des enlèvements en fourrière a été évitée en fin d'année 2009.

Claude Schneider, président national de la branche dépannage-remorquage du CNPA (Conseil national des professions de l'automobile), a suspendu le mot d'ordre in extremis après avoir été reçu le 23 décembre au ministère des Transports. Il y a reçu l'assurance que les demandes présentées par les gardiens de fourrières privées seraient examinées lors d'une réunion de travail à Bercy, en janvier. Ces professionnels, qui exercent le plus souvent en parallèle le métier de garagiste et de carrossier, sont sollicités par les forces de police pour enlever les véhicules en stationnement irrégulier, en assurer le gardiennage et lorsque le propriétaire est introuvable, insolvable ou inconnu (véhicules dits « 3i »), s'occuper de leur démolition. Or, l'indemnisation par l'Etat intervient avec des retards qui grèvent leur trésorerie, se plaignent-ils. Ils demandent donc aux pouvoirs publics de s'engager à couvrir les frais entraînés par les « 3i » selon un strict cahier des charges. Par ailleurs, les tarifs de fourrière dans les villes de moins de 400

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

FRANCE

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15