«Après l'Espagne, notre priorité, c'est le Portugal, l'Autriche et la République Tchèque. Nous sommes en négociation pour qu'ils acceptent notre badge. Pas facile », avoue Philippe Lassauce, P-dg d'Axxès. « L'intéropérabilité européenne sera très difficile à réaliser car il faut discuter et négocier avec plus de 200 sociétés et organismes chargés de percevoir les péages ou taxes d'usage des infrastructures routières en Europe. Il est peu probable qu'on y arrive en octobre 2012. » En fait, le SET requiert une intéropérabilité à la fois technologique et contractuelle.
Au plan contractuel, à première vue le plus délicat, les choses sont loin d'être fermées. Comme l'illustrent les cartes de paiement commercialisées entre autres, par AS24, DKV Euro Services ou UTA. Ces derniers proposent déjà un service de centralisations nationales des factures (péages, consommations diverses liées au trans
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