L'association professionnelle des autoroutes et ouvrages routiers (ASFA) serait-elle dans la fosse aux lions au moment de sacrifier au rituel de la hausse annuelle des péages autoroutiers ? Pour cette instance présidée par le truculent Jean-François Roverato - également président d'Eiffage -, il s'avère difficile de faire amende honorable. Et d'expliquer les contours d'un dossier qui tient davantage de la logique commerciale que de la rationalité économique. Si l'on s'en tient aux simples déclarations de l'ASFA, l'augmentation est acceptable. « La hausse des tarifs validée par l'État sera de 0,5 % en moyenne pondérée », a confirmé M. Roverato.
Mais que cache cette « moyenne pondérée » ? En réalité, d'une s
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