PEUT MIEUX FAIRE

Article réservé aux abonnés

Même si les offres d'emploi se font plus rares, les employeurs recrutent péniblement, du fait de salaires guère attractifs et d'un manque de reconnaissance du métier de chauffeur-livreur.

Rythmée depuis plusieurs années par des rachats d'entreprises et, en 2008 par une recrudescence des défaillances d'entreprises, la messagerie emploie de moins en moins de bras. Selon le bilan social annuel du transport routier de marchandises publié par la Direction des services des transports en décembre 2009, l'activité employait 43 900 salariés en 2008 (sur 386 300 pour le TRM élargi), contre 46 900 en 2007, soit une baisse de 6,3 %. Parmi eux, un tiers seulement sont conducteurs, contre le double dans le TRM élargi. En revanche, on y retrouve plus de cadres, de professions intermédiaires et d'employés, respectivement 7 % et un tiers contre 3,8 % et 15 % dans le TRM élargi. Parallèlement, la messagerie, plus soumise aux aléas conjoncturels recourt plus souvent à l'intérim qui atteint 12,2 % des emplois, contre un taux de recours moyen de 4,4 % dans le TRM par exemple ou de 8,1 % dans la construction.

DIVERSIFIER LES CANAUX

Reste que même s

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

ENQUÊTE

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15