Un « accord de dupes » contre le « ridicule dont se couvre la FNTR » ; « irresponsabilité » contre « simulacre de négociations salariales » : les assauts d'amabilité entre la FNTR et de TLF se succèdent depuis la signature de l'accord social du 14 décembre. Les présidents Philippe Grillot et Jean-Christophe Pic, hier proches, évitent de se parler. Sur le terrain, une ligne de démarcation s'est imposée entre « routiers » et « non routiers », entre « vrais » transporteurs et affréteurs. L'accord social, étendu à l'ensemble de la profession le 21 février, a accentué la fracture. Avec cette question : qui défend qui et représente quoi avec combien de divisions ?
La question résume le litige qui oppose les deux fédérations. Le 24 février, la décision de Norbert Dentressangle de rejoind
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