LE TRAITEMENT DES MICRO-PRATIQUES ANTICONCURRENTIELLES SIMPLIFIÉ

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Controversé, le système de contrôle des micro-pratiques anticoncurrentielles est une innovation de l'ordonnance du 13 décembre 2008, mis en oeuvre par le décret n°2009-140 du 10 février 2009. Traitées plus rapidement, ces pratiques relèvent du ministère de l'Économie et des Finances.

Les micro-pratiques anticoncurrentielles (Micro-PAC) occupent une place particulière au sein du droit à la concurrence : c'est au ministère de l'Économie et des Finances que revient leur contrôle. Et ce, alors que depuis la loi de modernisation de l'économie, tout ce qui concerne ce droit est placé entre les mains de l'Autorité de la concurrence. Globalement, elles se définissent par des pratiques contraires au droit de la concurrence exercées par des PME dont le chiffre d'affaires est inférieur à 50 M€ (100 M€ si plusieurs sociétés sont concernées). Les ententes, abus de position dominante ou prix abusivement bas relèvent directement de ce régime. Autre spécificité : les micro-PAC doivent être de portée exclusivement locale. Enfin, elles ne doivent pas entrer dans le champ d'application du droit communautaire.

PROCÉDURE EN 5 ÉTAPES

De

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