STRATÉGIE OU OPPORTUNISME ?

Article réservé aux abonnés

Chaque semaine, Geodis s'invite dans l'actualité à la rubrique « croissance externe ». Avant-hier Cool Jet (91), hier Ciblex (94), aujourd'hui Bertola (en Italie) et demain Giraud International (94). Les « négociations exclusives » avec le fonds d'investissements Butler, propriétaire à 100 % de Giraud, ont été rendues publiques le 24 mars, au premier jour de la SITL (buzz garanti !). Devant aboutir avant l'été, elles visent ce qui reste de Giraud (à l'exception de deux filiales en Belgique cédées par ailleurs), soit un périmètre de 180 M€ de recettes, 700 salariés et 500 moteurs dispersés sur cinq pays (France, Espagne, Italie, Portugal et Écosse). En un an, le groupe SNCF/Geodis a mis la main sur plusieurs entreprises à la santé fragilisées par la chute des volumes et des prix, mais qui comptent sur leurs marchés respectifs (messagerie, activité routière, logistique contractuelle) et qui ont élargi sa palettes de services. Résultat : l'appétit de Geodis, chapeauté par la SNCF depuis avril 2008, n'est pas sans intriguer. Avec cette question à tiroir : à quelle stratégie répond la vague d'acquisitions dont le degré d'opportunisme reste à déter

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

ÉDITORIAL

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15