Comment survivre à la crise, lorsqu'on est un transporteur indépendant, conduisant son propre camion et employant au plus quelques salariés ? Réponse : c'est de plus en plus difficile. Dans ce contexte, ceux qui par le passé ont choisi la voie de la coopération semblent s'en sortir plutôt mieux que leur collègues, amenés à disparaître, subsister ou se faire racheter. Ainsi Unicooptrans, fédération nationale des coopératives et groupements de transport, n'enregistre aucun dépôt de bilan parmi ses adhérents, dont la plupart rassemblent de petits transporteurs. De quoi susciter l'intérêt pour ce mode d'organisation.
Bien que l'émerge
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