Le social en question

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Depuis le 18 mars, Christophe Bonizec observe une grève de la faim au siège du groupe de transport frigorifique STG (35)

. Ce délégué syndical CFDT, conducteur routier entend ainsi dénoncer l'échec des négociations salariales ainsi que « les difficiles conditions de travail ». En cause : les + 1 % de revalorisation salariale accordée par la direction dans le cadre des NAO. « STG est membre de TLF et refuse pourtant d'appliquer les augmentations salariales signées en décembre dernier par cette organisation patronale et les syndicats de salariés », déclare Christophe Bonizec. Lequel assure que les syndicats ont opté pour la grève de la faim dans un souci de responsabilité « pour ne pas bloquer l'entreprise et lui faire perdre des parts de marché ». Pour autant, depuis le 18 mars, des actions de débrayage (sans blocage) ont lieu de manière sporadique dans certaines agences ainsi qu'au siège de Noyal-sur-Vilaine. STG emploie 2 800 salariés. Le groupe breton, contrôlé par la société Beauvoir, a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 280 M€ sur l'exercice 2008-2009. Il possède une flotte de 950 semi-remorques

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