En 2010, la « Responsabilité sociale et sociétale » (RSE) est devenue le premier facteur de motivation de l’entreprise pour s’engager dans une politique de développement durable (« DD »).
En revanche, les motivations liées à « l’amélioration de son image » et « la demande des consommateurs », en tête ces deux dernières années, ne sont plus d’actualité avec respectivement des taux de réponses à 9 % et 5 % quand la RSE pointe à 45 %. Tels sont les principaux enseignements du dernier baromètre Déméter réalisé par CPV Associées auprès d’une vingtaine de membres (40 % de prestataires logistiques, 35 % d’industriels et 25 % de distributeurs) de ce club réunissant de grands acteurs de la chaîne logistique globale. Pour les entreprises adhérentes de Déméter, cet engagement « DD » repose sur la collaboration : avec ses collaborateur (80 %) mais aussi ses fournisseurs (65 %) et transporteurs (55 %). D’ailleurs, 74 % d’entre elles ont intégré une clause « DD » dans leurs contrats et 88 % sont prêtes à sanctionner tout défaut d’application. Les actions menées généreraient des « surcoûts faibles » (selon
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