Sur le volet social, le PSE de Gefco prévoyait à l’origine la suppression de 364 postes et la création de 230, programmes de formation à l’appui (L’OT 2492). Selon Patrice Clos, délégué central syndical FO, le chiffre final porterait sur environ 480 licenciements, y compris les départs volontaires (avec une enveloppe moyenne de 50 k€). Selon ce dernier, le climat social au sein du groupe est proche de la mer d’huile, à l’exception de ce suicide en avril dernier d’un salarié employé sur le site de Poissy (78). « La prime à la casse a boosté l’activité de Gefco en 2009. Les chiffres ont été meilleurs que prévus et nous ont valu de recevoir intéressement et participation », déclare Patrice Clos. Principale inconnue au sein du groupe : quel sera l’avenir de la messagerie ? L’activité, qui emploie 1 700 salariés, aurait perdu 17 M€ en 2009. A-t-elle vocation à rester dans le giron de Gefco ? Sur le volet commercial, la filiale de Peugeot a également « nettoyé » son réseau d’age
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