La mobilisation syndicale à grande échelle, qui « visait 25 sites Dentressangle », n’a pas eu lieu. Annoncée le 10 mai, elle s’est bornée à des calicots de la CFDT Route sur les 24 sites Norbert Dentressangle présentés comme « bloqués ». La direction n’en a comptabilisé que 9 sur ses 179 sites en France et 4 % des salariés français. Denis Schirm, secrétaire fédéral de la CFDT, reconnaît : « Sur le terrain, on a cherché les autres organisations syndicales ». Et il ne les a visiblement pas trouvées… Elles étaient pourtant cinq fédérations syndicales (CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC et FO) à gonfler ensemble leurs muscles en novembre pour qualifier Norbert Dentressangle de « cible prioritaire ». On allait voir ce qu’on allait voir ! « Après la passion rouge, la colère noire », clamaie
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