Lors du comité directeur, le 24 juin, les membres du groupement national des transport combiné (GNTC) ont voté majoritairement contre l’adoption d’une coprésidence à leur tête. Un modèle de gouvernance défendu par SNCF Geodis. « Nous avons confirmé notre souhait pour une présidence simple, et qui n’est pas assurée par un représentant de SNCF Geodis », rapporte un adhérent qui veut garder l’anonymat. Rejetant de fait la nomination de Patrice Descharrières (Dg adjoint de Geodis BM) comme président ou coprésident. « Ce n’est pas l’homme qui est en cause, mais ce qu’il représente, explique un transporteur. On voit mal comment une entreprise monopolistique sur l’offre ferroviaire mais également l’un des premiers employeurs de chauffeurs en France peut porter et défendre les intérêts des clients du combiné. On ne peut être la fois juge et partie. » C’est le 14 octobre, lors de l’assemblée générale du GNTC, que doit être désigné le remplaçant de Jean-Claude Brunier. Il reste quelques semaines pour tenter de trouver un compromis. « Mais si divorce il y a, ça ne viendra pas du GNTC », souligne cet adhérent. SNCF Geodis envi
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