« Prendre garde au réflexe de la complexité »

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L’O. T. : Fin août, vous quitterez vos fonctions de délégué général de l’Union des fédérations de transport. Dans quel état d’esprit partirez-vous ?

Olivier Mugnier : Sans regret, ni remords, ni lassitude. Mais avec le sentiment d’avoir fait de mon mieux pour que l’UFT, à laquelle je crois, puisse repartir sur des bases solides. La question de sa pérennité ne se pose plus. Les structures sont en place pour fonctionner. Et dans six mois, le TRM aura une nouvelle convention collective. J’aurais préféré partir dans un contexte plus serein. Ceci étant, il ne l’était pas vraiment lorsque je suis arrivé, il y a trois ans.

Quel sentiment, justement, à l’égard de la négociation salariale de décembre dernier ?

O. M. : Celui que nous étions arrivés à un extrême degré d’incompréhension. Les positions de la FNTR ont été caricaturées. On lui a prêté, ainsi qu’à l’UFT, des intentions qu’elle n’avait pas. D’où un sentiment de défiance de la part des organisations syndicales qui subsiste. Elle a été lapidée pour avoir posé les bonnes questions alors que la politique de l’autruche n’est jamais efficace.

Quelle impression garde

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