Peut-on raisonnablement continuer de parler de congrès national lorsque le nombre de participants se limite à une soixantaine d’adhérents ? Lorsque le rassemblement a davantage des allures d’assemblée générale régionale que de grand raout hexagonal ? Pas question ici de nier l’investissement déployé par Éric Valade et Frédéric Van der Schueren, les deux coprésidents de l’Unostra Aquitaine, avec le précieux concours de Ludivine Dubernet, pour faire vivre ce 52e congrès de l’Unostra. Mais, il faut bien le dire, « la der » de Catherine Pons sentait à tous points de vue la fin d’une époque. Les absents ont-ils eu tort ? Pas forcément, même si, par leur choix, ils ont jeté une ombre sur la tenue du rassemblement. Mais en même temps, que reste-t-il de l’Unostra aujourd’hui ? C
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