Philippe Grillot refuse l’idée d’une « année blanche »

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En marge de l’Université TLF, les 20 et 21 octobre, Philippe Grillot a dressé un état des lieux des États généraux. Pour lui, les syndicats ont compris que « nous ne pourrions pas tout donner ».

« Le social ne peut plus être la variable d’ajustement dans le TRM ». Cette déclaration n’est pas extraite d’un discours de Maxime Dumont (CFDT) ou de Patrick Vancraeyenest (CGT). Elle est sortie de la bouche de Philippe Grillot, en début d’année, au moment du lancement des États généraux. Après neuf mois de discussions, alors que les organisations syndicales grognent, le patron de TLF assure qu’il tiendra son engagement. « Quand on gagne quelque chose, il faut le partager ». Voilà pour le côté pile. Côté face, le candidat à la présidence de la Chambre de commerce et d’industrie de Lyon (sur une liste CGPME !) précise que « ce n’est pas évident d’aller au bout dans ce contexte de crise exacerbée ». Et d’ajouter : « Nous aurions traité ce sujet trois ans auparavant, nous aurions déjà avancé. Là, nous sommes dans un système contraignant, les entreprises souffrent. Mais il n’empêche que

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