Fin progressive des perturbations. Le travail reprend peu à peu dans les raffineries. « Un premier retour d’expérience » sera mené par la cellule d’approvisionnement mise en place pour coordonner la réponse des pouvoirs publics à la pénurie de carburant, indique le ministère de l’Énergie, le 2 novembre. Les transporteurs, eux, n’ont pas à attendre un quelconque tour de table pour savoir que l’épisode leur a coûté. Un sondage réalisé par la FNTR les 25 et 26 octobre auprès de 1 530 adhérents fournit une première estimation des dégâts. Déjà, elle s’exprime en termes d’activité. Au niveau national, près de 10 % des professionnels ont dû immobiliser une partie de leur flotte. Jusqu’à 10 % du parc pour certains d’entre eux. Les plus touchés ? Les transporteurs normands (26,5 %), franciliens (24,3 %) et picards (21,9 %), suivis de ceux du Centre (15,8 %) et du Limousin (14,3 %). Ensuite, le coût de revient des tra
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