Après une année de tergiversations, les partenaires sociaux du transport ont enfin pris une première décision concernant la mutuelle conventionnelle. Réuni hors CNIC (Commission nationale d’interprétation et conciliation) « pour une plus grande liberté d’expression » le 5 novembre, un groupe de travail a en effet décidé de définir le « socle minimal de garanties » de la future complémentaire santé. Autrement dit, les représentants patronaux et syndicaux devront s’accorder sur le « panier de soins » qui sera pris en charge et qui figurera dans l’appel d’offres lancé en direction d’organismes prestataires. Pour ce faire, chaque partie se verra autorisée à faire appel à des experts. Notamment des intervenants ayant participé à la mise en œuvre d’une mutuelle dans d’autres branches. « Ils nous aiderons à déterminer ce que signifie “socle minimal de garanties” aux yeux des uns et des autres, indique Nicolas Paulissen, délégué général adjoint de la FNTR. Nous avons notre idée sur la question. Mais rien n’assure que cette vision est partagée par les représentants des salariés ». A charge aussi pour les experts de prése
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