Jusqu’au 31 mars, TLF a un président : Philippe Grillot. Mais après ? Le conseil d’administration de TLF, le 16 décembre, a accordé au président sortant le droit de signer personnellement la fin des États Généraux. Un juste retour des choses pour le « Lyonnais » qui s’est « mouillé », avec Dominique Bussereau, pour donner du corps à cette initiative politique que ne goûte pas toute la profession (suivez mon regard vers la FNTR !). Une fois la fin de partie sifflée, Philippe Grillot ira porter la bonne parole des entreprises sur les bords du Rhône et de la Saône et TLF devra être incarnée par une nouvelle tête. Quelques noms circulent : Patrick Pépin, le Monsieur Europe de Kuehne & Nagel, mais qu’on dit « surbooké » ; Bernard Jolivet, le n° 2 de STEF-TFE, mais qu’on dit « mitigé » ; Jean Schmitt, l’emblématique dirigeant de Heppner, mais qu’on dit « fort peu intéressé » par la fonction… Alors qui ? Le fait est que les candidats ne se bousculent pas, ce qui laisse grandir l’idée d’une éventuelle coprésidence (en souvenir de l’attelage Bréau-Fauqueur pendant huit ans). Car la charge est lourde, la pression
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?