Le dossier de la mutuelle reviendra en discussion le 7 février. La réunion de la CNIC (commission nationale d’interprétation et de conciliation) se déroulera en deux temps. La première partie rassemblera les représentants des salariés autour du cabinet d’actuariat (techniciens de l’assurance qui réalisent des études économiques et financières pour mettre au point ou modifier des contrats) qu’ils se sont choisis (L’OT 2572) ; les négociateurs des organisations professionnelles – qui n’ont pas jugé utile de faire appel à un tel expert – les rejoindront ensuite. « Nous attendons des organisations syndicales qu’elles nous présentent une contre-proposition au projet que nous leur avons adressé à la mi-mai », indique Philippe Choutet, directeur des affaires sociales, juridiques et fiscales de TLF. Ce document comprenait des propositions quant aux types de prestations envisageables et aux conditions d’ouverture de la complémentaire santé conventionnelle. « Pour nous, il s’agit bien du socle minimal qui était à définir dans le cadre de cette négociation, estime donc TLF. Du coup, la fédération dit ne pas trop comprendre l’utilité
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