C’est en toute discrétion que, le 18 janvier, l’État a fait part de son choix en faveur du consortium mené par le groupe italien Autostrade – auquel sont associés la SNCF, Thales, Steria et SFR – pour collecter les futures écoredevance et taxe expérimentale alsacienne. L’annonce s’est résumée à un simple avis publié sur le site internet de la Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer. Quatre jours auparavant, Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Écologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, et Thierry Mariani, secrétaire d’État chargé des Transports, avaient entériné le classement des offres remises dans le cadre de la procédure d’appel public à la concurrence lancée en mars 2009. Au terme de ce « dialogue compétitif », la Mission Ecotaxe PL a classé en tête l’offre déposée par Autostrade, avant celle proposée par le groupem
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