« Sans avoir encore les chiffres définitifs, on peut dire que les tonnages transportés semblent légèrement inférieurs à ceux de l’an dernier, qui fut une année exceptionnelle », note Jacky Lecanu, président de la commission benne grand volume de la FNTR. « Les conditions météo ont augmenté la tare terre, ce qui a en partie compensé les baisses de rendement à l’hectare ». Les tarifs pratiqués sont restés stables et les recettes sont de l’ordre de 600 euros pour un poste de 10 heures et de 1 000 euros pour 18 heures de réception usine. Les tarifs sont fixés à la tonne/kilomètre avec un barème par commune desservie.
Les prix sont différents selon les usines car ils tiennent compte en principe des particularités géographiques. « Depuis la restructuration du secteur sucrier, les tarifs se nivellent plutôt par le bas puisque nos donneurs d’ordre se comptent sur les doigts d’une main ! La neige a affecté les transports et contraint les usines
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