Entre les exercices 2008 et 2010, le groupe Transalliance a profondément changé. Une variation visible dans le chiffre d’affaires (de 669 M€ à 570 M€ en passant par 532 M€ en 2009). L’activité pièces automobiles, qui fut longtemps une entité majeure dans l’organigramme, est rentrée dans le rang. « Les flux ont été répartis dans nos autres BU. Il n’y a plus de filiale dédiée », assure Alexandre Michel (40 ans), dirigeant du groupe depuis 2005. Il a réduit son nombre de centres d’exploitation à 50 dans l’Hexagone. En dehors, il compte dix sites d’exploitation et un millier de véhicules.
La baisse des flux et le raccourcissement des distances, avec des prix moyens de transport en recul, expliquent aussi les décisions du groupe qui a retiré 800 véhicules de la route. « Le chiffre d’affaires n’est pas une fin en soi. Ce qui prime, c’est la qualité de service, le niveau de performance et la plac
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