La CGT des ports est entrée dans un bras de fer avec le gouvernement qui ne veut plus signer l’accord de principe, conclu un mois avant la reforme des retraites, avec les partenaires sociaux sur la reconnaissance de la pénibilité pour certains métiers portuaires et autorisant un départ à 58 ans. Conséquence, les ports français sont une fois encore paralysés. Un mouvement d’autant plus mal vécu et compris par les entreprises clientes qu’un rapport de la Cour des comptes dénonce les rémunérations injustifiées des grutiers et portiquiers : jusqu’à 4 500 euros net avec « bakchich ». Pendant ce temps, Marseille et Le Havre « régressent » dans le palmarès des ports européens.
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