Qui prendra les commandes de TLF à la suite de Philippe Grillot, le 31 mars ? La soixantaine d’administrateurs de l’organisation patronale aura à prendre cette décision le 24 mars à Paris, quelques jours avant la soirée annuelle du 30 mars, pendant la SITL. En attendant que les dés soient jetés, il flotte sur cette institution comme un parfum de mystère et d’incompréhension. Comme si la succession de Philippe Grillot, donné partant dès novembre, n’avait été ni anticipée ni réfléchie. Un comble pour une organisation qui réunit les plus grands groupes de transport et de logistique, et qui compte en région des PME de premier rang. Le flou actuel serait-il le résultat de la crise des vocations ? Ou plutôt le fruit douteux de tractations secrètes, menées en comité restreint ? Ou alors la conséquence d’un défaut d’unité et de cohésion au sein même de l’organisation ? Quel que soit le choix de gouvernance (deux ou trois solutions, individuelle ou collégiales, seraient en discussion), quels que soient le ou les noms qui sortiront du chapeau, l’impression donnée n’est pas des plus fameuses. En région, certains grands dirigeants, adhér
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