2014 RAISONS DE S’Y PRÉPARER

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Comment appréhender le cabotage promis à la libéralisation en 2014 ? En quoi la fin de l’encadrement du cabotage va-t-elle accélérer la concurrence tous azimuts, après, qu’à compter du 1er janvier 2012, les Roumains et Bulgares seront entrés dans le circuit ? Ce genre de question, teintée d’inquiétude, a été évoqué ici et là dans les allées du SITL, qui vient de fermer ses portes à Paris. Tout dépend de sa position : petite entreprise ou multinationale, chargeur ou transporteur, affrété occasionnel ou affréteur permanent, Breton ou Alsacien, spécialiste du surgelé ou généraliste à la palette, Français ou étranger… Il y a autant d’avis et d’oppositions que de cas particuliers d’être gagnant ou perdant. Au parlement européen, on a vu des députés se plaindre des restrictions actuelles au cabotage, au motif qu’elles étaient « contraires aux principes d’un marché intérieur sans frontières, garantissant la libre circulation des marchandises et des services ». En France, malgré le décret du 19 avril 2010 sur le cabotage (trois opérations autorisées dans un délai maximum de sept jours), le discours est nettement moins lib�

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