NE PAS PAYER L’INTÉRÊT DE RETARD, C’EST POSSIBLE !

Article réservé aux abonnés

Le défaut, l’insuffisance de paiement ou le versement tardif des impôts donne lieu au versement d’un intérêt de retard. Mais, dans certains cas, l’entreprise peut y échapper.

L’intérêt de retard a pour objet de compenser forfaitairement le préjudice financier subi par le Trésor du fait de l’encaissement tardif de sa créance. Il présente de ce fait le caractère d’une réparation pécuniaire et non d’une sanction. Son application n’a pas à être motivée. Le contribuable en est redevable même s’il a régularisé l’infraction de sa propre initiative. Il en est ainsi par exemple s’il souscrit tardivement sa déclaration d’impôt sur le revenu, ou s’il paie hors délai tout ou partie de la TVA due au titre d’un mois ou d’une période déterminé.

L’INTÉRÊT DE RETARD RÉDUIT

Le taux de l’intérêt de retard est fixé à 0,40 % par mois, soit 4,80 % l’an. Il est réduit de 30 % lorsqu’au cours d’une vérification de comptabilité et pour les impôts sur lesquels porte cette vérification, le contribuable régularise les erreurs, inexactitudes, omissions ou insuffisances commises dans les déclarations s

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

GESTION

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15