En 2010, le trafic ferroviaire français a été affecté par 40 jours de grève, tous motifs confondus. Soit l’équivalent de six semaines d’activité en moins pour l’entreprise qui traite 100 % de ses flux de vracs solides en combiné rail-route. Conséquence : nous avons enregistré sur l’année une baisse de 2 % en volume, quand nous nous attendions toutefois à – 5 %. Pour 2011, nous prévoyons une croissance de nos flux de 17 %! C’est important, mais à relativiser après les deux années de crise du combiné. Nous retrouvons les niveaux de 2008 auxquels s’ajoutent 10 % issus de marchés repris ou gagnés. Cette progression est à la fois liée à la reprise d’activité chez nos clients et à l’éviction de certains concurrents, notamment espagnols, sur des marchés internationaux. Ceux-là même qui nous taillaient des croupières à coups de tarifs qui ne couvraient pas leurs dépenses pendant la crise ! Actuellement, plus de 90 % de nos trafics sont opérés par Novatrans. Nous travaillons avec IFB sur Dourges-Segrate (Italie) et allons retester l’offre vers Madrid qui a repris après son arrêt en 2010. Avec la grève du port marseillais, IFB
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