A partir du 1er juillet 2013, l’affichage des émissions de CO2 liées à la prestation de transport deviendra réalité. Un décret, attendu durant l’été, va donner le coup d’envoi de la nouvelle obligation, qui devra permettre aux entreprises de se préparer à cette transparence voulue par le Grenelle 2. Malgré ce cadre réglementaire à venir, doit-on redouter un saut dans l’inconnu ? Ou un supplément de contraintes qui fera dire aux mauvaises langues que ce n’est pas le manque de repères qui fait défaut, mais le trop-plein ? Ce que nous savons à ce jour ne donne qu’une vague idée de la réalisation du dispositif.? Quatre niveaux d’affichage sont annoncés : reprise de données nationales disponibles (niveau 1); utilisation de données moyennes à l’échelle de l’entreprise (niveau 2); calculs particuliers des émissions de CO2 par métier, agence ou client débouchant sur des données spécifiques (niveau 3); calcul spécifique par prestation, qui représente le niveau de précision le plus élevé. Selon leur taille et leur activité, les entreprises pourront choisir entre ces quatre niveaux, du plus simple au plus complexe. Sur le marché sont d
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