L’OT : La FNTR souhaite renforcer les conditions d’accès au métier et le cadre réglementaire du transport léger (L’OT 2592). Avec quels arguments ?
G.C.-B. : C’est vital pour notre profession, si elle veut lutter efficacement contre l’exercice illégal du métier et les pratiques déloyales. En Ile-de-France, il y a 6 000 entreprises déclarées. Mais quand on voit ce qui se passe sur le terrain, on peut craindre qu’il y en ait le double. L’adaptation de la réglementation française au paquet routier européen doit être réalisée au plus tard le 4 décembre 2011. A cette occasion, nous travaillons avec l’administration des transports sur l’augmentation de la capacité financière (la FNTR est favorable à 1 800 € pour le premier véhicule puis 900 € pour les suivants, ndlr) et sur le renforcement de la capacité professionnelle. Au-delà de ce travail, nous entendons rapprocher la formation de nos conducteurs de celle du transport lourd en créant une FIMO propre au transport léger.
L’OT : Vous portez la bonne parole en région ?(1). Le discours favorable à plus de réglementation est-il entendu ?
G.C.-B. : Les chefs d’entreprise que nous
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