Il fallait s’y attendre : c’est la répartition des surcoûts entre la profession et l’État qui a donné le plus de fil à retordre aux négociateurs de l’accord sur le CFA, le 30 mai. A savoir l’élaboration de l’annexe financière que les représentants des organisations professionnelles et syndicales avaient posée comme condition sine qua non à leur signature. Au terme d’une journée de discussion, Philippe Choutet, directeur des affaires sociales et juridiques de TLF, se félicite d’un résultat qu’il juge « équilibré ». Quant aux dispositions « techniques », elles avaient été arrêtées par les partenaires sociaux lors des réunions antérieures. TLF et l’OTRE côté patronal, la CFDT, la CFTC, la FNCR et la CFE-CGC côté syndical ont signé en début de soirée. La FNTR et l’Unostra devraient faire de même d’ici quelques jours, indique Nicolas Paulissen, délégué général adjoint de
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