Ce 31 mai, Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Écologie, du Développement durable et des Transports a annoncé la mise en place d’une cellule de crise chargée de veiller « à la satisfaction des besoins logistiques des agriculteurs pour les transports de fourrage à destination des zones les plus touchées par la sécheresse ». « Il est question de solidarité entre les régions », a déclaré « NKM ». La première réunion de la cellule de crise a eu lieu le 1er juin, en présence des représentants du monde agricole, de RFF, de la SNCF et d’entreprises ferroviaires. L’idée étant de privilégier le mode ferroviaire afin d’acheminer un million de tonnes de volumes à transporter selon les estimations officielles. Exit donc le mode routier, si ce n’est en bout de chaîne, « pour assurer les trajets de courte et moyenne distance ». Une réunion plus tard, le 7 juin, retournement de veste : plus question de priorité au mode ferroviaire. « Normal, explique François Cenut, délégué FNTR Li
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