Comme d’autres acteurs, Heppner ne gagne pas d’argent avec l’activité de messagerie en France. « En messagerie, il y a une bonde fermée dont personne ne sort. Pour autant, nous la conservons car c’est le bras armé de notre société », déclare Jean Schmitt, le patron du groupe (600 véhicules exploités en location). C’est en fait l’activité internationale terrestre qui, retrouvant son niveau de 2008, a dopé les performances du groupe avec une progression spectaculaire de 11 % (140 M€) par rapport à 2009, « la pire des années depuis la guerre », selon Jean Schmitt. « Nous possédons un fort tropisme Europe du Nord mais nous avons rattrapé notre retard en Europe du sud, indique le dirigeant alsacien. Nous nous recentrons par ailleurs sur l’axe franco-allemand, en nous appuyant notamment sur nos propres sites ». Les nouvelles agences internationales ouvertes à Annecy, Laval, Nantes, Saint-Étienne, Tours, Orléans et Grenoble ont, selon la direction, apporté leur écot (plus de 10 %
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