L’OT : Pourquoi ce nouveau véhicule ?
Nous sommes dans une phase d’expérimentation, comme l’est également Renault Trucks. Nous souhaitions disposer de ce genre de véhicules en exploitation dès qu’il serait stabilisé au plan technique afin de nous permettre de toucher du doigt les avantages et les inconvénients de la technologie hybride. Nous allons notamment pouvoir mesurer les gains de consommation, entre l’annonce et la réalité. Nous allons pouvoir aussi travailler sur le modèle économique associé. On se doit d’être en pointe sur des sujets en décalage.
L’OT : Cette phase d’expérimentation nécessite-t-elle un dispositif spécifique ?
Nous avons bien choisi les trafics sur lesquels on mettait ces véhicules en place. Nous avons aussi choisi le profil des patrons d’agence de façon à avoir un bon monitoring opérationnel, ainsi que tout ce qui est relatif à la maintenance des véhicules, un sujet délicat car, en fait, c’est toute la technologie des batteries qui est en jeu. C’est Renault Trucks qui gère le sujet au travers d’un garage de référence.
L’OT : Pas facile de faire passer le surcoût engendré par cette nouvelle technologie
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