Une logistique à affiner et des inconnues

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Le 20 juin s’est tenue la troisième réunion de la cellule de crise chargée de veiller « à la satisfaction des besoins logistiques des agriculteurs pour les transports de fourrage à destination des zones les plus touchées par la sécheresse ». Un constat : les besoins en transports exceptionnels sont évalués autour de 1,7 Mt, selon Nancy Fauré, chef de service à la FNSEA. Le syndicat agricole a chiffré à 140 € le coût de la tonne de paille pressée en botte, chargée dans la Marne et rendue chez l’éleveur de l’Aveyron. Il a additionné le prix de la paille (25 € la tonne), le chargement-déchargement, le transport ferroviaire, les ruptures de charge, le pré et post-acheminement routier. « Inacceptable » estiment les agriculteurs. Devant les limites du mode ferroviaire, le transport routier assurera donc 90 % des acheminements. « Le prix de la tonne transportée par le mode routier devrait être inférieur à 60 € », chiffre Nicolas Paulissen, délégué général adjoint de la FNTR. Les transporteurs ne disposant pas d’un matériel spécialisé négocieront à un niveau supérieur. « Dans une remorque surbaissée, on peut mettre 25 

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