Prévue le 27 juin, l’élection du vice-président (patronal) de la Commission paritaire nationale de l’emploi (CPNE) a dû être reportée. Les fédérations professionnelles ne parviennent pas à s’entendre entre elles sur la répartition des 18 voix dont elles disposent. L’UFT (au nom de la FNTR) et l’OTRE refusent chacune les propositions de l’autre. La première dénonce un paritarisme « dénaturé » qui, faute de collège séparé entre représentants des employeurs et des salariés, « met les organisations syndicales en situation d’arbitrage entre les organisations professionnelles ». L’OTRE se refuse à tout commentaire. En toile de fond se joue aussi la répartition des sièges au sein des autres organismes paritaires : OPCA, institutions de prévoyance…
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