Le regain de tension entre la FNTR et l’OTRE (cf p. 6) risque de retentir sur le fonctionnement de la Commission paritaire nationale de l’emploi, avancent certaines organisations syndicales. Et la CPNE n’a pas vraiment besoin de cela ! Le 14 septembre, la réunion de cette commission a fait flop. Une fois encore, les participants sont restés bloqués au deuxième point de l’ordre du jour : l’élection d’un vice-président issu des rangs patronaux (la présidence est assumée par Maxime Dumont, Union fédérale Route CFDT). Engagée depuis le début 2010 avec l’arrivée de l’OTRE, la recherche d’un équilibre dans la répartition des voix au sein des représentants patronaux n’a pas abouti. Les fédérations professionnelles ne parviennent pas à s’entendre entre elles sur la répartition des 12 voix dont elles disposent. Dans les tuyaux depuis un moment, la proposition de relever le nombre de voix à 18 n’a pas réglé le différend. Résultat, l’élection du vice-président, initialement prévue en juin, n’a toujours pas eu lieu. Et les deux prétendants - Philippe Choutet pour TLF, Michel Chalot pour la FNTR - seraient même revenus sur leur can
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?