LA CRISE SUR LE GÂTEAU

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Comment céder son entreprise sans se perdre en route et faire machine arrière ? En 2012, un grand nombre d’entreprises de transport changeront de main parce qu’un grand nombre d’entre elles sont à vendre. C’est de notoriété publique. Plusieurs motifs expliquent cette réalité : l’âge du capitaine et le défaut de successeur familial ; l’usure des responsabilités ; des difficultés financières conjoncturelles devenues structurelles ; la perspective de contraintes supplémentaires et trop complexes… Le camp des acheteurs n’est pas moins fourni. Motivation première : la croissance externe pourrait générer en 2012 ce qu’une croissance interne aura du mal à produire, faute de volumes et de prix stables. Des entreprises misent donc, cette année, sur des acquisitions, avec la volonté d’acquérir un portefeuille de clients, un segment de marché, voire un territoire géographique nouveau. Les deux populations, du cédant à l’acquéreur, entre la première approche, le protocole d’accord et la remise finale du chèque, sont donc amenées à se croiser. Avec cette réserve : les temps ont changé à la fin 2011. Les banques sont sur le reculoir,

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