Évoquant le dossier de la TVA sociale, Patrick Bouchez, président-délégué de TLF, a déclaré le 12 janvier au cours d’une conférence de presse que « l’optimisation du coût du travail ne peut s’effectuer avec un chèque de l’État. Donc le transfert vers d’autres schémas nous paraît quelque chose frappé du sceau du bon sens ». La commission terrestre de TLF présidée par Jean Schmitt, le patron du groupe Heppner (93), possède, elle, plusieurs fers au feu pour l’année qui démarre. Il y a tout d’abord l’affichage CO2 dont Jean Schmitt pense qu’il « est incontournable et compliqué dans son application, notamment en messagerie ». Sur ce dossier comme sur les autres, le dirigeant ne cache pas sa préoccupation face à des dispositifs qu’il qualifie de franco-français. Sur le 44 t, il confie que TLF « est toujours en discussion pour obtenir un 44 t à 5 essieux », alors que sur la taxe PL (écotaxe), « nous voulons une possibilité de répercussion totale sur tous nos frais car c’est un impôt ». « Cette écotaxe aura un impact sur les transports à vide, sur la messagerie qui supporte d’autres coûts que le transport… Nous a
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