« PAS DE LOI GAYSSOT POUR LES SOUS-TRAITANTS TRANSPORT »

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La mise en redressement judiciaire de Sernam, le 31 janvier, ne devrait pas obliger le millier de sous-traitants réguliers à faire jouer la loi Gayssot. Dans une interview exclusive à L’Officiel, Philippe Chevalier s’y engage. Le président de Sernam revient sur les circonstances de la défaillance de l’entreprise, « lâchée » par le fonds d’investissement Butler Capital Partners.

L’Officiel des transporteurs : Quelles sont les raisons qui vous ont conduit à vous placer sous la protection de l’administration judiciaire ?

PHILIPPE CHEVALIER : Nous sommes dans une logique de gestion responsable, qu’il nous fallait avoir dans la mesure où nous étions en cessation de paiement dès la fin de décembre dernier. À ce moment, deux solutions s’offraient à nous : ou l’actionnaire Butler Capital Partners acceptait de recapitaliser pour un plan de retournement à 2 ou 3 ans; ou nous étions contraints au redressement judiciaire. BCP a considéré que les expériences récentes d’adossement qui avaient avorté et, surtout, les mauvaises prévisions économiques, n’étaient pas favorables pour un pari aussi difficile. Nous n’av

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