Le transport routier souffre d’une mauvaise image : poncif ou vérité ? Pour en avoir le cœur net, la FNTR - appuyée par l’Observatoire de la performance durable - a commandé une enquête à l’IFOP. Une étude menée auprès de 1 200 personnes (1 000 représentatives de la population et 200 leaders d’opinion) qui fait apparaître une réalité contrastée. Un bon point déjà : le poids et le rôle du TRM sont très largement reconnus dans l’acheminement des marchandises (98 % des sondés), mais aussi dans le fonctionnement de l’économie (95 %) et l’emploi (88 %). On le juge réactif, ponctuel et utile. Les avis sont plus mitigés, en revanche, sur l’image qu’il renvoie. 56 % des personnes interrogées disent avoir une bonne opinion du secteur (60 % des élus politiques et journalistes). Mais la perception se fait de moins en moins favorable au fur et à mesure que l’on grimpe dans l’échelle des catégories socioprofessionnelles. Moins d’un cadre supérieur sur deux en a une image positive contre 75 % chez les ouvriers. Quant aux évocations spontanées qui s’y associent, elles ont en priorité trait à la congestion routière ! Les rai
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